Le début de la folie ...

Le soleil entamait sa longue agonie lorsque deux hommes se firent face, en haut d’une colline. L’un portait une armure de plaque et une énorme épée en travers de son dos. L’autre, plus mince, ne portait qu’une simple armure de cuire cachée en partie par un grand manteau sombre et n’avais qu’une épée courte comme arme.
Les deux hommes se toisèrent en silence. De même taille, la carrure du premier était cependant trois fois supérieure à celle du second.
Ils n’échangèrent pas un mot, mais leurs yeux vert étincelaient du désir fou de voir couler le sang de l’autre.

Soudain, sans somation aucune, l’homme au manteaux noir levant la main et un jet de magie bleu surgit de sa paume pour aller frapper le paladin qui lui faisait face. Ce dernier esquiva l’attaque et dégaina son arme. Il s’élança en direction de celui qui avait ruiné tant de destins avec la ferme intention de le pourfendre. Le sorcier dégaina sa lame rapidement et parvint tant bien que mal à arrêter l’épée de son adversaire. mais celui ci continua d’appuyer sur l’arme du sorcier, faisant jaillir des étincelles et crier le fer de leurs lames.
Le sorcier ploya sous la force de son adversaire, se retrouvant bientôt à genoux devant lui, protégeant son corps de sa lame gémissante qu’il était obligé de tenir à deux mains.

Le paladin donna un grand coup de genoux à l’homme qui se trouvais à ses pied afin de lui faire lâcher prise. Mais celui ci s’accrochait à son arme comme à la vie, et malgré la douleur, refusait de céder.

Risquant le tout pour le tout, il lâcha sa garde et se jeta en arrière, évitant ainsi d’être coupé en deux. Il se releva, désarmé, leva les deux main et invoqua une nuée de chauves souris, qu’il lança sur le guerrier saint. Celui-ci agita son épée en tout sens pour tenter de se débarrasser des créatures, alors que le sorcier envoyait sur lui une décharge de flamme, qui brûlât toutes les créatures, ainsi que leur proie, qui tomba à terre.

Le sorcier, étonné d'avoir mis son adversaire hors d'état de nuire, s’avança dans ca direction, l’attrapa par le col et cracha la question qui lui brûlait les lèvres depuis des semaines sans qu’il ai pus en trouver la réponse :

" Pourquoi ? "

Le paladin regarda son ennemis sans sourciller, et répondit malgré ses blessures :

" C’est ainsi, le Mal doit périr, il les rongeait, je les ai sauvées d’une vie maudite, rien de plus … Mais toi, tu ne peux pas comprendre ça non ?…"

Le sorcier du se retenir pour ne pas frapper le demi elfe, il avait l’impression que son cœur allait exploser dans sa poitrine tant ce qu’il venait d’entendre le mettais hors de lui. C’était de sa faute, mais d’un autre coté, il n’y était pour rien !

Lisant le trouble sur le visage de son adversaire, le paladin sourit :

« Tu es tombé bien bas Anfauglith, mais serrais tu suffisamment descendu pour tuer ton propre frère ? Tu as tué notre père après tout, et sans le moindre regret il me semble…. Le Mal et le Chaos coulent en toi, j’aurais du d’exécuter ce jour la, cela aurais réduit les souffrance de ce monde, et t’aurais également épargné bien des tourments… quelle erreur ! »

Le sorcier lâcha le paladin et expira avec force, en proie au doutes.
C’est alors que le bruit des sabots d’un cheval au galop fit entendre. Anfauglith se retourna, et vis un deuxième paladin venir vers eux, l’épée hors du fourreau.

« Je te laisse la vie sauve aujourd'hui petit frère, mais la prochaine fois que nos chemin se croiserons, tu mourras de ma main, de la même façon que tu les as tué, comme un chien »

Sur ces mot, le sorcier fis un mouvement de main et disparut, laissant passer l'unique chance de tuer l'homme qui avait ruiné sa vie.

[HRP] Sympa. C'est direct et rapide, mais j'aime. [HRP]

[HRP] Merci je voulais ajouter une musique, mais seule une partie du moceau convenait, et à une seule partie de l'histoire. Tant pis. Contente si ca ta plus en tout cas. ( OMG c'est la deuxième fois que je m'exprime au féminin sur ce forum !! [/HRP]

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[HRP]Passionant [HRP]

[Hrp]Tu semble ironique ^^" [Hrp]